La costa atlántica, "a barlovento" de Martinica
La costa este, la costa de barlovento
El término costa de barlovento proviene del sistema meteorológico muy regular conocido como los vientos alisios. Estas corrientes de aire, procedentes del océano Atlántico, son en parte responsables de la apertura de rutas comerciales entre el viejo continente y el Caribe. Su regularidad durante gran parte del año hace posible cruzar el Océano Atlántico (lo que se conoce como travesía transatlántica) totalmente a vela.
À contrario, l’autre côté de l’île est protégé par la topographie, les reliefs montagneux. Du côté Atlantique donc, le vent souffle quasiment à longueur d’année et cela affecte énormément les paysages. Les espaces non protégés vont avoir des reliefs plus accidentés, les vagues seront plus présentes sur les plages et la végétation doit aussi s’y adapter. C’est pourquoi on rencontre de ce côté de l’île de nombreux bois couchés, ces arbres, dont l’effet du vent régulier a infléchi la croissance. Mais, vous croiserez également sur votre chemin des havres de paix, baies paradisiaques où il fait bon pratiquer la voile.
El Atlántico Norte
En este lado se encuentran los más bellos puntos de surf. Tartane, un pequeño pueblo de pescadores en la Presqu'île de la Caravelle, es la ciudad principal. Pero para las competiciones de alto nivel, con olas aún más grandes, es en el lado de la ciudad de Basse-Pointe, más al norte, donde ocurre. Si se pueden formar regularmente hermosas olas, es gracias a dos factores: los vientos regulares crean olas que vendrán a "golpear" el segundo factor, un elemento del fondo marino, en algunos lugares será un arrecife de coral, en otros un banco de arena, o por qué no un arrecife artificial. Esto es lo que creará la ruptura de la ola, y permitirá a los surfistas practicar su deporte.
La Península Caravelle
La península de Caravelle es también un lugar muy popular para el senderismo, con paisajes variados entre manglares, acantilados rocosos y calas protegidas. Es también, con la parte sur de la isla, el primer elemento que apareció en Martinica. Hace entre 22 y 24 millones de años, el afloramiento magmático creó el macizo de Saint-Anne y la península de Caravelle. Por ello, el paisaje y los colores de las rocas de la península son tan diversos. Hay restos muy antiguos de magma, a menudo negros y duros, y luego capas más blancas, que son antiguos sedimentos oceánicos (por lo tanto de origen calcáreo), que han salido a la superficie por los movimientos tectónicos.
Mención especial merece la Baie du Trésor, que no debe perderse bajo ningún concepto. Esta zona protegida es el hábitat de especies endémicas de Martinica, especialmente el gorrión de garganta blanca, que es una especie protegida por estar en peligro de extinción. Aunque no es muy conocido, un paseo acuático por el fondo de la bahía, en la parte donde el agua es más profunda, puede hacerle descubrir una densa y colorida vida submarina.
En effet, de ce côté de l’île avec les vagues plus présentes, la plongée est peu développée. Pourtant la barrière de corail qui entoure une grande partie du littoral en fait une zone de très riche biodiversité.
Más al sur, los kitesurfistas son los reyes, con el emblemático spot de Anse Michel y Pointe Faula. Hermosas playas hasta donde alcanza la vista, con una densa vegetación costera, muy agradable para un picnic a la sombra, pero también para preservar la biodiversidad.
Es en estas playas de la costa atlántica donde las tortugas laúd vienen a poner cientos de huevos cada año.
El paisaje paradisíaco de los fondos blancos
Mais cette côte au vent a aussi des espaces protégés que sont la baie du Robert et la baie du François. On y pénètre par une passe qui était la bête noire des premiers colons européens. En effet, de nombreux hauts fonds rendaient l’accès aux baies bien périlleux. Exercice beaucoup plus facile pour les indiens Caraïbes, plus à l’aise avec des embarcations beaucoup plus petites, légères et gouvernables.
C’est dans cette zone que l’on trouve les fameux fonds-blancs. Vous avez très certainement entendu parler de la baignoire de Joséphine et son bien connu baptême du rhum. Mais ce n’est qu’un exemple, bien souvent trop fréquenté, de tous les fonds-blancs accessibles en bateau. Époustouflant par la couleur de l’eau turquoise, fruit d’une eau peu profonde et d’un sable extrêmement blanc car issu de la lente et naturelle désagrégation des squelettes de coraux et autres sources calcaires. D’ailleurs, vous verrez que le sable n’y est pas toujours très agréable sous le pied, les morceaux étant de tailles inégales.
Un des grands attraits de cette zone se situe également dans ses îlets. Certains sont habités et d’autres complètement sauvages. Sur tous vous pourrez observer une grande diversité des espèces, que ce soit d’un point de vue animal ou végétal. Le plus emblématique, mais inaccessible pour sa protection, l’îlet Loup Garou que vous pourrez apercevoir à la sortie de la baie du Robert. Mais les autres îlets des baies du François et du Robert, sont tout aussi stupéfiants, que ce soit pour leurs falaises dites Orgues andésitiques, pour leurs iguanes endémiques (îlet Chancel), et leurs oiseaux migrateurs qui viennent s’y reproduire.
El Atlántico Norte, hasta su fin del mundo, el pueblo de Grand Rivière
Comme son homologue côté Caraïbe, le Nord de la côte Atlantique est marqué par le relief accidenté lié à ses massifs montagneux récents : la Montagne Pelée en grande maîtresse des lieux, a soulevé d’anciens massifs un peu plus âgés. C’est pourquoi elle est bordée en son pourtour de mornes eux aussi assez abrupts et parfois instables. Au dessus de la Presqu’île de la Caravelle, les côtes s’enchainent entre falaises abruptes et longues plages de plus en plus noires, en remontant vers le Nord. Cette partie de l’île n’étant pas protégée, la baignade y est souvent dangereuse, avec des vagues et un courant fort. Figure emblématique de cette partie de l’île, l’îlet Sainte-Marie (juste en face de la ville du même nom) et son tombolo, cordon sableux permettant de le rejoindre à pied une partie de l’année.
Sur la commune de Macouba, communément vue comme la commune la plus au nord du coté Atlantique, on trouve une étrange plage, qui donna lieu à un film éponyme : Nord Plage. Cet ancien quartier a été quasiment entièrement détruit, une fois ses habitants relogés, pour faire face aux dangers de submersions. En discutant avec les anciens ( appelées ici grandes personnes ) on apprendra que les grandes falaises qui enferment ce quartier aujourd’hui désertique, étaient auparavant bordées de plages, permettant de relier les autres villages alentour. La plage à droite des bâtiments en ruines, est une source inépuisable de bois flottés, et de déchets, déposés ici comme une offrande de l’océan qui a patiemment poli ces plastiques, pour en faire de nouveaux objets.
Esta ruta del norte tiene un final, ya que no es posible rodear la isla por completo desde su costa. Así, en el norte, se encuentra el pueblo de Grand Rivière. Después, si quiere llegar a la costa caribeña, tendrá que ponerse las zapatillas de deporte para una caminata de 16 km. Desde el puerto de Grand Riviere, es posible ver la isla hermana de Dominica al otro lado del canal.
Artículo escrito por : Jessica CHEKROUN